Comment référer

Nos services sont offerts à toute personne majeure sur notre territoire (Vaudreuil-Soulanges, Beauharnois-Salaberry, et le Haut-Saint-Laurent) qui fait des gestes de violence dans une relation conjugale ou familiale, indépendamment de son genre et des formes de violence exercées. Nous offrons également des services aux victimes masculines et à toute autre personnes victimes ne se définissant pas comme cis-genre.

Il n’y a pas de formulaire de référence à remplir et nous envoyer. La personne peut nous contacter directement de manière à débuter processus d’accueil. Votre contribution en tant qu’intervenant.e est de leur expliquer nos services et notre approche, et de leur donner nos coordonnées. Si votre client.e le désire, vous pouvez participer au premier contact téléphonique (voire, dans certains cas exceptionnels à la première rencontre).

 

Éléments facilitant la référence

Tenir compte des craintes et partager les informations pertinentes

Plusieurs personnes ont des appréhensions à formuler une demande d’aide à un organisme spécialisé en violence conjugale et familiale :

  • peur d’être jugées, dénigrées, étiquetées
  • doutes quant à leur capacité à s’engager et à en tirer pleinement profit

Elles peuvent avoir besoin d’être rassurées en ce qui a trait :

 

S’appuyer sur la motivation de la personne

Les personnes s’adressant aux organismes d’aide aux conjoints ayant des comportements violents disent généralement être motivées par le désir de répondre aux besoins suivants :

  • Faire le point sur leur situation
  • Apprendre à mieux se connaître
  • Reprendre espoir
  • Obtenir du support, une oreille attentive et des conseils avisés
  • Surmonter la crise
  • Mieux faire face au stress et aux situations difficiles
  • Améliorer la qualité de leur relation de couple
  • Éviter de blesser ceux et celles qu’ils aiment
  • Contrôler leur colère
  • Rompre le cycle de la transmission intergénérationnelle
  • Cesser d’avoir parfois peur d’elles-mêmes
  • Éviter les sanctions criminelles ou l’intervention de la DPJ